L'élection était surveillée de près par la communauté internationale, son enjeu dépassant largement les frontières de la Roumanie. Et son scénario aura été surprenant d'un bout à l'autre. En élisant dimanche le maire centriste de Bucarest comme président, les Roumains ont finalement choisi de maintenir le cap européen et de soutenir Kiev plutôt que de se tourner vers l'extrême droite
Roumanie, une présidentielle hors norme

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